Philippe Hébrard – Laurent Marimbert
Tu pratiques le faux semblant des songes
Tu es un virtuose du mensonge
Des contes et légendes, sables mouvants
De ton corps en offrande sur le divan
Je ne saurai jamais le vrai du faux
Milles et une nuits c’est une de trop
Je n’en vois plus le bout de tes histoires
A s’endormir debout quand vient le soir
Etranges coïncidences, contrefaçons
Délivrent tes absences de tout soupçons
Je ne saurai jamais le vrai du faux
Milles et une nuits c’est une de trop, c’est une de trop
Des récits envoûtants restons-en là
Malgré tous les talents je ne suis pas
Une reine d’Orient que ta voix berce
Je n’ai pas la patience des rois perses
Je ne saurai jamais le vrai du faux
Milles et une nuits c’est une de trop
Je ne saurai jamais le vrai du faux
Milles et une nuits c’est une de trop, c’est une de trop
Une de trop