Tonie Behar – Laurent Marimbert

C’est un sourire heureux

Comme un présage
Rencontré chaque matin
Sur ton visage
Qui me donne du bonheur
L’air de rien en douceur
J’aime ton grand sourire clair
Cette lumière
Sur le territoire blème
De mes problèmes
Un message de plaisir
Qui semble vouloir dire

Souris et la vie te sourira
Oublie le train manqué qui s’en va
Laisse tomber les regrets
Et regarde devant toi
Souris et la vie te sourira
Ce que tu envoies te reviendra
Vas y prend le meilleur de la vie
Et souris

Quand il pleut sur la ville
Et que l’orage
Emporte tout mon espoir
Sur son passage
Je souris pour y croire
Et chasser les nuages

Souris et la vie te sourira
Oublie le train manqué qui s’en va
Laisse tomber les regrets
Et regarde devant toi
Souris et la vie te sourira
Ce que tu envoies te reviendra
Vas y prend le meilleur de la vie
Et souris
Souris et la vie te sourira
Oublie le train manqué qui s’en va
Laisse tomber les regrets
Et regarde devant toi
Souris et la vie te sourira
Ce que tu envoies te reviendra
Vas y prend le meilleur de la vie
Et souris

Pascale Baerhel – Laurent Marimbert

Je regardais les tankers qui tanguaient
Qui coupaient le brouillard au couteau
Le vent soulevait le sable et semblait
Renvoyer les compteurs à zéro
Il est tard, j’ai sommeil
La nuit porte conseil
Il faudrait que j’essaie

Passent les jours
Les saisons, les amours
Reste un sourire
Quand il n’y a plus rien à dire
Passent les heures, les parfums, les rancoeurs
Restent en retour quelques jolis trais d’humour

A l’horizon un badaud qui boudait
Qui rejetait des bouteilles à l’eau
Parfois les voiles au loin se dévoilaient
Dans la nuit pour se perdre aussitôt
C’est ici, ou ailleurs
Sur un ultime écueil
L’heure de la dernière heure

Passent les jours
Les saisons, les amours
Reste un sourire
Quand il n’y a plus rien à dire
Passent les heures, les parfums, les rancoeurs
Restent en retour quelques jolis trais d’humour

Hum hum hum hum
Hum hum hum hum

Passent les heures, les parfums, les rancoeurs
Restent en retour quelques jolis trais d’humour

Pascale Baerhel – Laurent Marimbert

C’est une peau de chagrin
Un couloir sans fin
C’est une voie sans issue
Un jardin suspendu
C’est comme un coup au cœur
Un jour entier sans pluie
Un tableau sans couleur
Un besoin d’infini
C’est malgré moi, malgré ceux qui m’entourent
Que je me perds un peu plus chaque jour

C’est ma vie
C’est mon cœur
Ma folie
Mes erreurs
Je peux enfin retrouver qui je suis
Sur le chemin que je me suis choisi

C’est ma vie
Mon ailleurs
C’est mon cri
Ma douceur
Je peux enfin retrouver qui je suis
Sur le chemin que je me suis choisi
C’est ma vie

C’est un vol d’hirondelle
Une île au soleil
Comme une histoire d’amour
La cœur un peu moins lourd
C’est malgré moi, malgré ceux qui m’entourent
Que je me trouve un peu plus chaque jour

C’est ma vie
C’est mon cœur
Ma folie
Mes erreurs
Je peux enfin retrouver qui je suis
Sur le chemin que je me suis choisi

C’est ma vie
Mon ailleurs
C’est mon cri
Ma douceur
Je peux enfin retrouver qui je suis
Sur le chemin que je me suis choisi
C’est ma vie

Christine Lidon – Laurent Marimbert

Tu étais comme un roi, que rien ne touche

Les filles tombaient pour toi, comme des mouches

Tu croyais que le monde serait à tes pieds

Suffisait de te voir et t’entendre parler

Qu’as-tu fait
Qu’as-tu fait
Qu’as-tu fait de toi
Je ne le crois pas
Qu’as-tu fait de ce mystère
Au dessus de nous
Qui nous rendait fous
Qu’as-tu fait de cette lumière
Qui nous rendait fous

Aujourd’hui tu es moins sur de toi
Tes souvenirs se voient plus que tu ne le crois
Te laisses pas faire même si t’as mal partout
Les rêves que l’on enterre c’est la mort jusqu’au bout

Qu’as-tu fait
Qu’as-tu fait
Qu’as-tu fait de toi
Je n’en reviens pas
Qu’as-tu fait de ce regard
Qui traversait tout
Qui nous rendait fous
Comme un éclair où est le charme
Qui nous rendait fous

Qu’as-tu fait de cet amour dont tu ne voulais pas
Que l’on te jetait au bras sans savoir pourquoi

Qu’as-tu fait
Qu’as-tu fait
Qu’as-tu fait de toi
Je n’en reviens pas
Qu’as-tu fait de ce regard
Qui traversait tout
Qui nous rendait fous
Comme un éclair où est le charme
Qui nous rendait fous

Philippe Hébrard – Laurent Marimbert

Tu pratiques le faux semblant des songes
Tu es un virtuose du mensonge
Des contes et légendes, sables mouvants
De ton corps en offrande sur le divan

Je ne saurai jamais le vrai du faux
Milles et une nuits c’est une de trop

Je n’en vois plus le bout de tes histoires
A s’endormir debout quand vient le soir
Etranges coïncidences, contrefaçons
Délivrent tes absences de tout soupçons

Je ne saurai jamais le vrai du faux
Milles et une nuits c’est une de trop, c’est une de trop

Des récits envoûtants restons-en là
Malgré tous les talents je ne suis pas
Une reine d’Orient que ta voix berce
Je n’ai pas la patience des rois perses

Je ne saurai jamais le vrai du faux
Milles et une nuits c’est une de trop
Je ne saurai jamais le vrai du faux
Milles et une nuits c’est une de trop, c’est une de trop
Une de trop

Pascale Baerhel – Laurent Marimbert

Même lorsque tous les autres
S’étonnent autour de nous.
Même lorsque toutes ces choses
Nous font douter de tout.
J’essaie de donner
Ce qu’on attend de moi
Un peu de vérité
Parfois.

Je suis en équilibre
Je marche sur un fil
Je ne regarde plus en bas
Tout est si loin déjà.
Je suis souvent ailleurs
J’ai compris mes erreurs
Je vois des oiseaux s’envoler
Des amants s’enlacer
J’ai oublié

Même si jamais le monde
S’écroule autour de nous
Et même si la dernière ronde
M’entraîne loin de tout
J’essaie d’ignorer
Ce que l’on dit de moi
Un peu de vérité
Parfois

Je suis en équilibre
Je marche sur un fil
Je ne regarde plus en bas
Tout est si loin déjà.
Je suis souvent ailleurs
J’ai compris mes erreurs
Je vois des oiseaux s’envoler
Des amants s’enlacer
Je suis en équilibre
Je marche sur un fil
Je ne regarde plus en bas
Tout est si loin déjà.
Je suis souvent ailleurs
J’ai compris mes erreurs
Je vois des oiseaux s’envoler
Des amants s’enlacer
J’ai oublié

Pascale Baerhel – Laurent Manganas

Près du téléphone
Il n’y a personne
Je t’entends parfois
Mais tu n’es plus là
L’été qui raisonne
Se perd en automne
Et tu n’es plus là

Et j’essaie de temps en temps
De sourire quelques heures
Je me laisse aller souvent
A recompter les heures

C’est trois fois rien
Mais c’était à nous
Trois fois rien de rien du tout
C’est trois fois rien malgré tout
C’est trois fois rien
Quelques idées floues
Trois fois rien
J’y croyais j’avoue

Dans la maison vide
Quelques mots stupides
Sont écrits pour toi
Mais tu n’es plus là
Mes pas qui raisonnent
Se perdent en automne
Et tu n’es plus là

Mais j’ai passé trop de temps
A effacer nos peur
Je me laisse aller souvent
A recompter les heurs

C’est trois fois rien
Mais c’était à nous
Trois fois rien de rien du tout
C’est trois fois rien malgré tout
C’est trois fois rien
Quelques idées floues
Trois fois rien
J’y croyais j’avoue

Tonie Behar – Christian Marimbert

Souviens-toi quand on dansait
En glissant dans la nuit
Juste un peu de désir
Juste un peu de plaisir
Le meilleur sans le pire
Souviens-toi quand on volait
Effleurés par le vent
Et la lune prenant
Des airs de cerf-volant
Nous portait tendrement

Tout doucement s’approcher
Du bout des doigts caresser
Je rêvais, voyageur de la nuit
Tout doucement s’embrasser
Laisser nos lèvres assemblées
Je t’aimais, voyageur sans souci

Souviens-toi quand on riait
Sous les cerisiers blancs
Rien d’autre à l’horizon
Qu’un délicieux frisson
Tanguer de déraison
Quand la lune m’enlace
Sous le ciel émouvant
Reviens le souvenir
Du meilleur sans le pire
Du bonheur sans le dire

Tout doucement s’approcher
Du bout des doigts caresser
Je rêvais, voyageur de la nuit
Tout doucement s’embrasser
S’en lacer sans se lasser
Je t’aimais, voyageur de la nuit
Tout doucement t’effacer
Laissé nos corps apaisés
S’éloigner, voyageur de la nuit
Tout doucement détacher
Au point du jour t’envoler
Tout léger, voyageur sans souci

Corinne Aillerait – Corinne Ailleret/Emmanuel Vergeade

Jusqu’à ce matin, j’étais
Perdue en chemin
Tu m’es comme ça l’air de rien
Tombé du ciel
Depuis ce matin, c’est sûr
Je reviens de loin
Tu sais pas à quel point
Tu m’es essentiel

Qu’est-ce qui nous attire ?
Qu’as-t-on à se dire ?
Qu’est-ce qui fait qu’on se désire ?
Qu’est-ce qui nous rapproche ?
Qu’as-t-on dans nos poches
De si précieux à s’offrir ?

Je ne sais pas pourquoi
C’était justement là
Justement moi
Pourquoi ce jour là…
Je ne sais pas comment
Mais c’est justement toi
Justement comme si déjà
On avait connu ça

Que vienne l’automne
Et que toujours on s’étonne
Et que toujours on se donne
Autant que ça

Qu’est-ce qui nous attire ?
Pourquoi se mentir ?
Rien ne sert de fuir
Qu’est-ce qui nous rapproche
C’est loin et c’est proche
C’est comme un souvenir…

Je ne sais pas pourquoi
C’était justement là
Justement moi
Pourquoi ce jour là…
Je ne sais pas comment
Mais c’est justement toi
Justement comme si déjà
On avait connu ça

Philippe Goyon – Laurent Marimbert

Partir et quitter les siens
Ne penser qu’au lendemain
Voir ailleurs de quoi le monde est fait
Prendre un bateau dès l’aurore
Laisser les chagrins au port
Regarder devant sans se tourner
On n’s’est rien dit l’âme à fleur de peau
On s’est souris les yeux gorgés d’eau

Faut s’en aller
Ne pas dire un mot
Faut s’en aller
Se jeter à l’eau
Mais se quitter c’est toujours trop tôt

Aucun mot ne peut décrire
Les sentiments qu’on respire
Quand tout va s’éloigne
C’est loin de soi
Quitter ce qu’on va aimer
Ce que l’on n’oublie jamais
Ce sans qui l’amour n’existe pas
On n’s’est rien dit l’âme à fleur de peau
On s’est souris les yeux gorgés d’eau

Faut s’en aller
Ne pas dire un mot
Faut s’en aller
Se jeter à l’eau
Mais se quitter c’est toujours trop tôt
Mais se quitter c’est toujours trop tôt
Mais se quitter c’est toujours trop tôt

Sandrine Gameiro – Jimmy Tillier

Il ne me parle plus
Ou pas assez
J’deviens si triste
A en pleurer
Il s’amuse sans moi
N’est plus à mes côtés
J’me rends malade
A en crever
Il reste tard au travail
Rentre tellement fatigué
Que je me désespère
De le retrouver

J’en suis tellement amoureuse
Que j'en suis malheureuse
J’en suis tellement dépendante
Et beaucoup trop aimante

Je dois me libérer
De son emprise
Et arrêter d’être à ses pieds
Je dois me détacher
De ses yeux envoutants
Et enfin réaliser
Qu’il n’est plus si aimant
Je dois me dégager
M’échapper de ses bras
Ne plus m’y attacher
Pour ne plus succomber

J’en suis tellement amoureuse
Que j'en suis malheureuse
J’en suis tellement dépendante
Et beaucoup trop aimante

Sandrine Gameiro – Sandrine Gameiro / Jimmy Tillier

Un pied dans l’Atlantique
Une jambe dans la Seine
Dans ce pays magnifique
Dans cette contrée sereine
Ma main dans la tienne
Ton bras autour de nous
Et bien sûr quoi qu’il advienne
L’océan et ses remous

Mon cœur vibre là-bas
Et il s’enivre ici-bas
Mon cœur bat très fort pour toi
Et la France vit en moi
Eu vivo aqui o que tu sentes
La em baixo
Vivo la em baixo a paixao
Que tu sentes aqui

Ton âme magnifique
Va me faire entrer en scène
Tes énergies bénéfiques
Vont contrer tous les larcenes
La magie qui est la mienne
Je te l’offre comme un bijou
Et si toutes les notes viennent
J’vous promets
Elles s’ront pour vous

Mon cœur vibre là-bas
Et il s’enivre ici-bas
Mon cœur bat très fort pour toi
Et la France vit en moi
Eu vivo aqui o que tu sentes
La em baixo
Vivo la em baixo a paixao
Que tu sentes aqui

Si difficile de choisir
Lequel des deux je préfère
J’ai décidé d’obéir
A mes instincts
Mes repères
Les deux me parlent avenir
Ils me guident comme un grand frère
Ils figeront mon sourire
Et ils en seront très fiers

Mon cœur vibre là-bas
Et il s’enivre ici-bas
Mon cœur bat très fort pour toi
Et la France vit en moi
Eu vivo aqui o que tu sentes
La em baixo
Vivo la em baixo a paixao
Que tu sentes aqui
Mon cœur bat très fort pour toi
Le Portugal coule en moi

Sandrine Gameiro / Sandrine Gameiro – Stéphane Bachelet

Je sais que trop bien
Qu’au petit matin
Inondée par le chagrin
Tu te prends par la main
Pour affronter ton quotidien
Je sais également
Qu’au bout d’un moment
Tu as le cœur plus clément
Et tu vas de l’avant
Pour égayer ton p’tit chemin
Surtout dans tout ça
N’oublie pas

Prends soin de toi pour toi
Prends soin de toi p'tit chat
Prends soin de toi crois moi
Prends soin de toi pour toi
Prends soin de toi p'tit roi
Prends soin de toi bats toi

Dans tous ces moments
Tous très accablants
Tu es tout tremblant
Le cœur bouillonnant
Tu en deviens si émouvant
Tu sonnes le glas
Tout vole en éclats
Comme sur du verglas
Tu reviens sur tes pas
C’est pour trouver le Nirvana
Surtout dans tout ça
N’oublie pas

Prends soin de toi pour toi
Prends soin de toi p'tit chat
Prends soin de toi crois moi
Prends soin de toi pour toi
Prends soin de toi p'tit roi
Prends soin de toi bats toi

Sandrine Gameiro / Sandrine Gameiro – Stéphane Bachelet

N’attends jamais rien des autres
Ne fait que donner de toi
L’espoir te rendra joyeux
Et l’amour te sourira
Et si des gens malveillants
Veulent te faire douter de toi
Dis-toi bien que tous ces grands
N’ont jamais trouvé la foi

Tourne tourne tourne vole
Danse comme une petite folle
Le soleil sera dès l’ore
La récompense de tes efforts
Papipapipapillonne
Et même quand cela résonne
Il te réchauffera le corps
Et tu lui joueras tes accords

Composer n’est pas facile
S’adapter l’ait encore moins
Même si tu es très docile
Tu peux être le témoin
Douter de toi mène au silence
T’exprimer mène au conflit
Allons entrons dans ta danse
Et rendons la plus jolie

Tourne tourne tourne vole
Danse comme une petite folle
Le soleil sera dès l’ore
La récompense de tes efforts
Papipapipapillonne
Et même quand cela résonne
Il te réchauffera le corps
Et tu lui joueras tes accords

Tes matins sont difficiles
Quitter Morphée foudroyant
Pour croiser l’incertitude
Dans les wagons de Tournan
T’affirmer dire c’que tu penses
Faut le vivre comme un défi
Et attendre la récompense
Avec beaucoup d’harmonies

Tourne tourne tourne vole
Danse comme une petite folle
Le soleil sera dès l’ore
La récompense de tes efforts
Papipapipapillonne
Et même quand cela résonne
Il te réchauffera le corps
Et tu lui joueras tes accords

N’oublie pas d’avoir le style
N’Suffit pas de savoir jouer
Maitriser les plus dociles
C’n’est pas vraiment compliqué
Mais quand les plus abîmés
Veulent venir prendre le dessus
Il ne faut pas t’incliner
Ne pas perdre ta vertue

Sandrine Gameiro / Sandrine Gameiro – Stéphane Bachelet

Enfant solitaire
Un peu réfractaire
Presque autoritaire
Fallait pas te faire taire
Ado renfermée
Un peu déprimée
Presque déroutée
N’fallait pas te saouler
Et pourtant dans tes jours
Comme dans tes nuits
Ils passaient avant toi
Tu leur donnais le droit

Tu t’es juste oubliée
Juste un peu ramassée
Tu as juste oublié de t’aimer

Jolie femme enfant
Mais un peu maman
Et presque diamant
Fallait pas être cassant
Femme combative
Un peu détective
Presque répressive
Fallait qu’on te délivre
Et pourtant dans tes jours
Comme dans tes nuits
Ils passaient avant toi
Tu leur donnais le droit

Tu t’es juste oubliée
Juste un peu ramassée
Tu as juste oublié de t’aimer

Devenue adulte
Et en plein tumulte
Presque catapulte
Il faut pas qu’on t’insulte
Aujourd’hui plus posée
Même un peu calmée
Et presque soignée
Il faut juste t’expliquer
Que dans tes jours
Comme dans tes nuits
Ils valent autant que toi
Laisse tomber l’effroi

Plus question d’t’oublier
Ni de te ramasser
Il est le temps d’apprendre à t’aimer