Pascale Baerhel – Laurent Marimbert
Je regardais les tankers qui tanguaient
Qui coupaient le brouillard au couteau
Le vent soulevait le sable et semblait
Renvoyer les compteurs à zéro
Il est tard, j’ai sommeil
La nuit porte conseil
Il faudrait que j’essaie
Passent les jours
Les saisons, les amours
Reste un sourire
Quand il n’y a plus rien à dire
Passent les heures, les parfums, les rancoeurs
Restent en retour quelques jolis trais d’humour
A l’horizon un badaud qui boudait
Qui rejetait des bouteilles à l’eau
Parfois les voiles au loin se dévoilaient
Dans la nuit pour se perdre aussitôt
C’est ici, ou ailleurs
Sur un ultime écueil
L’heure de la dernière heure
Passent les jours
Les saisons, les amours
Reste un sourire
Quand il n’y a plus rien à dire
Passent les heures, les parfums, les rancoeurs
Restent en retour quelques jolis trais d’humour
Hum hum hum hum
Hum hum hum hum
Passent les heures, les parfums, les rancoeurs
Restent en retour quelques jolis trais d’humour